|
|
Bonjour, Hello
Sory it's particulary for French readers.
Je me permet de vous proposer quelques lectures et je suis preneur également d'articles ou d'ouvrages me permettant de cheminer avec ce concept.
- Albe Virginie, "enseigner des controverses", 2009, éditions PUR,
"OGM, nanotechnologies, effets sur la santé des ondes de la téléphonie mobile ou des substances chimiques, changements climatiques, énergie suscitent de nombreuses controverses et soulèvent de nouveaux problèmes aux experts, aux politiques et aux citoyens, devant prendre des décisions en situation d'incertitude. L'école doit permettre une compréhension avertie des pratiques scientifiques et techniques d'une part, et de l'imbrication des questions de sciences et de société d'autre part. L'ouvrage s'appuie sur les recherches les plus récentes en sociologie et en histoire sociale et culturelle des sciences et des techniques pour proposer diverses cartographies de controverses, une analyse des argumentations, ainsi qu'une expertise scientifique. Résumé extrait du site Archipel - Université de Toulouse.
- Jollivet Marcel, "pour une transition écologique citoyenne", 2015, Paris , Éditions Charles Léopold Mayer
La 4ème de couverture indique : "Notre époque fait le grand écart entre des connaissances ouvrant sur une utopie galopante et d'autres annonciatrices d'un abîme lié au modèle de développement qui domine le monde. La contradiction est béante. Un terme, celui de "transition écologique", est mobilisé, qui fait office de mot d'ordre pour la résoudre. Puisant dans l'histoire des deux siècles hérités de ladite "Révolution industrielle", Marcel Jollivet esquisse le chemin de la prise de conscience des risques que l'humanité encourt en raison de ses agissements. Il en ressort l'importance du rôle que la société civile et la recherche ont joué dans cette prise de conscience. La radicalité des mutations sociétales à accomplir fait que la transition qui s'impose ne sera "écologique", au sens strict du terme, que si elle est appropriée par les citoyens. Il faut pour cela qu'advienne une véritable "démocratie technique et écologique participative". Cet avènement ne se produira que s'il est imposé par une mobilisation des forces vives de la société civile qui en portent le projet. En tant que participant de ces forces vives, les chercheurs ont tout particulièrement à s'interroger sur leur façon d'y contribuer. L'approfondissement du dialogue entre eux et la "société civile organisée" est la cheville ouvrière de la mobilisation nécessaire. Résumé extrait du site Archipel - Université de Toulouse.
- Gauthier Chassang, Anne Cambon-Thomsen, Emmanuelle Rial-Sebbag, "Éthique et Réglementations des biobanques de recherche", 2016, disponible à l'adresse "http://www.biobanques.eu/fr/agenda/item/biobanques-publie-un-ouvrage-ethique-de-reference"
Bonne Lecture
Pascal
|
